*une cellule du quartier disciplinaire*
*Vers le poste de surveillance*
*l'espace détente ou le coin des balades..*
*l'espace détente d'un prévenu coriace qui a beaucoup fait parler de lui (me souviens plus du nom)*
-Pourquoi le grillage au dessus de ce petit espace?-
*On ne se sent pas très bien à visiter ces endroits.*
C'est par où la sortie?
Beaucoup d'anecdotes nous ont été racontées par le guide qui lui-même a été gardien dans cet endroit.
Il a été témoin d'évasions ratées.
Des habitants de l'immeuble de l'autre côté de la rue ont été témoins d'une évasion:
celui qui voulait s'évader a sauté par dessus ce mur.
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et puis maintenant que la prison est désaffectée on recherche .....
Click >un article de la Dépêche de Nov 2010
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Copie d'un article de Sylvie Roux dans la Dépêche du Midi
Ce fut l'évasion la plus rocambolesque de l'histoire de la prison Saint-Michel. Le 3 août 1978, cinq détenus se faisaient la belle, après avoir creusé un tunnel de 65 mètres de long, reliant la cellule n° 3 à la rue Saint-Denis ! L'affaire avait fait grand bruit à l'époque. Trente ans après, le « cerveau » de la bande, Cyprien Elix, se souvient très bien d'être tombé sur plusieurs crânes et ossements enfouis dans les sous-sols du quartier n° 1, celui qu'occupait autrefois la Gestapo. « Je connaissais la prison comme ma poche et je savais que le meilleur trajet pour creuser était de passer sous ce bâtiment inoccupé, où étaient entreposés toutes sortes de matériels. En creusant, on a trouvé un ancien tunnel dont le sol était recouvert d'une terre noire comme du marc de café, qui fermentait. C'est là qu'on a vu des crânes. Je pense que ça venait de la Libération. Ils ont tué beaucoup de monde à Saint-Michel », se souvient Elix. « Je sais qu'après notre passage, ils ont rebouché avec du ciment ». Cyprien Elix et ses quatre comparses ont mis six mois à creuser leur tunnel avec des ustensiles fabriqués à partir d'outils avec lesquels ils travaillaient à l'atelier, à la lueur de lampes fabriquées avec des boites de conserve. « Je creusais le jour et je faisais travailler d'autres détenus à ma place à l'atelier. Comme ça, la nuit on pouvait contrôler que j'étais dans ma cellule ». Aujourd'hui âgé de 83 ans, l'ancien caïd coule des jours paisibles dans l'Aude. « Je n'ai tué personne, j'avais un code d'honneur, je ne volais qu'aux banques ».
S.R.
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Le Monde en parle aussi ..Lire > ICI
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et qui a su répondre à la question?